Lyrics Grünt – Grünt #57

Grünt #57 Lyrics – Grünt

Singer: Grünt
Title: Grünt #57

Olalalala
Han, yeah
J’fais dix rêves pour trois-cents cauchemars, bellek si la gauche part
Quand j’aurai l’oseille à samuel, j’prendrai le 8 à oscar

Tous vos rappeurs les p#rnstars qui suceraient pour des pochtars
J’ai un ami sous la terre, un dans la merde et deux au shtar
L’amour, ça demande trop d’taff, la haine, ça fait mettre trop d’baffes
J’les graille, on dirait qu’j’ai les canines d’un gros staff’, wouh, wouh, wouh

Grosse baffe, je sens le vent, les audemars
Gros, r’garde : pour moi, c’est bientôt ; pour eux, c’est trop tard, han
Ils commencent à sucer à s’en casser les cervicales
J’découpe mieux qu’eux, c’est dans longtemps qu’ils pourront m’faire vivre mal

Jay-jay okocha, j’leur fais un festival
La droite part de la gauche et revient à la verticale
Du dry sur du dry, j’roule dans un toyota corolla
J’baise leurs mères devant un coppola, c’est trop beau là

J’écris des thèses, c’est plus des textes, c’est juste un doctorat
Les labels signent de la merde et ils se vantent d’avoir de l’odorat
J’t’attaque, on les troue, pas d’flaque
Yz, pas d’plaque, où sont les sous ? qu’j’n’ai plus à sentir l’odeur d’la pisse dans 〈l’a4 ?〉

Réussir, à part si on r’met les pieds à la fac
La sacem à zazie combinée à celle d’arafat
Balle après balle, j’suis juste en train d’les carabiner
Ton mec fait l’dur avec les mes-ar, mais il est kawaïné

Ils ont vidé leurs chargeurs, j’ai pas un poil vacillé
J’égorge des prods, aujourd’hui, j’ai changé quatre fois d’tablier
Ça sent l’crime et les produits illégaux
Au même âge en u12 pendant qu’je signais pro

Ta meuf chez une copine, après l’concert, je lui ai signé l’dos ?
J’ai essayé l’hip-hop pour fumer des cigares et baiser des idiotes
M.a.i.r le légendaire valide wallace et c’est réciproque
〈oui ?〉, maintenant, j’suis avec une meuf raffinée, on mange du bœuf mariné, l’bébé dans l’œuf

L’soir, j’suis comme une ford fiesta et le soir, j’suis fort festif
Avec un texte pareil, c’est normal que j’me sente spécial
Je repars pour sauver l’monde, je rentre, je change mes sapes
C’est bien moi qui transmets ça, donc entends c’message, han

J’touche pas encore ma sacem donc la prod’, j’lui fais un boulot, mais j’lui fais un taff au black, pour l’instant
Comme si j’voulais m’marier et qu’j’dois m’suffire du coup d’un soir, pour l’instant
Comme si j’ai faim, elle m’donne à boire, pour l’instant
Des hommes en noir comme des swat

Un barrel d’huile, un entonnoir et je vous gave comme des oies
Moi, j’rappais comme un zinzin, ça a toujours été simple, sin-c’
On n’est pas deux et d’mi, les doigts d’la main, c’est toujours cinq sins-c’
Ah oui, let’s go

Yeah, yeah
Henri bleu
S/o pr à la prod, s/o wallace
Let’s go

Yeah, yeah, yeah
Y a des couleurs, y a des tunnels, des bouts d’mon cœur dans les ruelles
Y a les odeurs de mon passé, y a même des fleurs, des eaux glacées
Dis-moi qu’tu viendras m’aider, j’attends l’ciel, j’attends 〈les dés (2:30) ?〉

Y a des bêtes qui m’embêtaient, dis pas “je t’aime”, j’suis entêté
Crystal bleu et transparent, y a des yeux glacés d’argent
Faut qu’je speedrun, j’ai pas l’temps, nous, c’est quand on tombe qu’on apprend
Moi, j’ai tellement d’bleus sur les g’noux, qu’je sais plus si j’prie ou j’attends

Yeah (jamais, jamais), eh
J’vois des images, y a des nuages et les nuages sont sous mes pieds
Y a des rumeurs dans les couloirs, l’bruit des gouttes d’eau au fond l’évier
J’fais des cauchemars, j’fais des cauchemars qui f’raient peur à freddy krueger

Même à freddy krueger, eh
J’suis tout en bas, j’ai des hauts-l’cœur, les deux yeux d’un stalker
Des zombies, des croqueurs, j’ai l’cœur plein, genre un six tonnes
La vie, c’est ironique comme la mort de paul walker

La vie, c’est pas une sitcom, même d’en bas, j’prends d’la hauteur, okay
J’te r’garde dans les yeux et j’vois déjà qu’t’es une hoe
Me parle pas d’game car, à part mes frères en r2, ça joue pas trop
Demain c’est pas loin, 〈9 a.m ?〉 à neuf cents mètres

Le cocorico t’fait les poches, le pied d’biche t’laisse aux abois
Le chien qui renifle la ford, j’porte les cernes de mes proches, quoi ? ok, ok
Tell’ment trix-ma par l’digital, tu pourrais même baiser un bot
J’ai jamais baissé mon short, à part pour t’montrer l’tom ford

Y en a qui s’font schlasser l’ventre, puis vont taffer leurs abdos
Qu’est-ce que tu m’parles, sin-c’ ?
Bientôt quand j’monte sur ma kichta, j’fais un mètre quatre-vingt-quinze
J’veux sortir d’une maybach, voir le logo sur le sol

Pas d’un 〈3:40 ?〉 cinquante, à cause d’un baille signé sur le sang
Le diable, c’est une skinny b#tch, toujours fin dans ces moves
Laisse-moi faire les dièses, toi, j’te laisse faire le ouf
Quand ça va pop, j’irai revendre tous mes masters

Car chaque choses ont un prix, sors ta c.c, fais ça faster
On y va pour 〈3:53 ?〉
Eh, eh
Mais qui m’a dit d’mettre cent cinquante sur gakpo l’buteur ? wallah, j’suis trop con, frère

Eh, eh, eh
J’ai mis un cent cinquante sur gakpo
Et l’ingé’ son c’est un jeune baptou
Toujours dans l’bloc comme si j’tais salarié

En un seul regard, frérot, on capte tout
Ton dernier projet, c’est un big flop
Guetteur est pas focus, il fait des tiktok
Et ouais, maboul, l’époque est f#cked up

Ton meilleur pote il met des crop top
〈4:26 ?〉 même les sdf veulent du buzz
Animal de compagnie, c’est des rats, des cafards
J’sais pas pourquoi j’pense encore à percer

J’ai encore un demi kil’ à faire partir
Soixante quinzième session a des poèmes qui brûlent
Laisse le micro, tu possèdes aucune magie
Il m’manque un trois cent g’, j’pense à mercato

Et j’aurais dû être méd’cin
On s’connaît, baisse le prix sur l’demi d’gelato
J’ai qu’un seul mode, j’peux que cracher les balles
Des missiles dans la bouche, des cailloux dans les poches

Des missiles dans la bouche, des cailloux dans les poches
Booba en 2002 ou conor mcgregor
J’viens poser un billet sur ma tête, j’vais rester courtois, mais c’est pas dur ta merde
J’suis là pour la culture, aussi pour t’la mettre, aussi vrai qu’après la rupture, t’as l’blues sa mère

Il fait froid, d’janvier à décembre, j’fais qu’monter, parce que j’me prépare à la descente
Fils de tain-p’, tu crois, c’est facile, tu crois qu’cette vie t’laisse le choix d’pas être méchant
Ou d’rester assis, vas-y, avec mes reufs, on décale
La prochaine fois, vends ton album ‘vec une bassine

J’suis l’meilleur, y a zéro débats, $enar, selug, mister robot, elliot et 〈5:21 ?〉
J’ai l’cœur froid, mais l’rap puissant qui calcine et l’passé qui fait qu’j’peux rester impassible
Des vrais frères, y en a peu au départ, y a des hauts et des bas, mais le temps, ça les vaccine
J’apparais, j’disparais comme la lune, mon démon m’demande d’ralentir dans la maybach

J’suis pas dans leur neige, pas dans la luge, j’regarde le sun, j’me dis “maybe, on débarque”
J’apparais, j’disparais comme la lune, mon démon m’demande d’ralentir dans la maybach
J’suis pas dans leur neige, pas dans la luge, j’regarde le sun, j’me dis “maybe, on débarque”
Maybe, on débarque, maybe, on débarque

Han, maybe, on débarque, maybe, on débarque, maybe, on débarque
Maybe, on débarque
Nion, nion, j’pull-up comme si j’tais en maybach
Nion, nion, si j’arrive en maybach (j’arrive en maybach)

J’arrive en maybach, j’arrive en maybach
J’arrive en maybach, j’arrive en maybach
Wah, j’suis quelque part, yeah, j’suis quelque part, yeah
J’suis quelque part entre mes r’proches hyper distants

Le premier contact est le dernier avertiss’ment
Quelque part entre un compte vide et les combines des ouï-dire et des non-dits
Quelque part entre un trou d’mémoire et un vortex , la bague à l’annulaire ou l’étiquette à l’orteil
J’voulais un sourire en or jaune, j’suis r’parti avec un cœur en gore-tex

Ma musique fait pas rigoler, j’ai fait des efforts de malade
J’attends plus rien du rap, à part un disque d’or de wallace et ultraviolet dans l’cabriolet
Toujours sur la défense, j’ai comme l’impression d’être frank lampard
Elle m’dit qu’elle veut d’un homme comme moi

Puis, quelques larmes plus tard, elle finira maquillée comme lomepal, y aura pas d’come back
Mon cœur, un punching ball, j’suis dans un cauchemar de junji itō
On s’reparl’ra quand j’s’rai à deux trois grammes, un soir sous og 〈7:09 ?〉
J’me rassure en m’disant que si j’ai tort, j’ai de bonnes raisons, j’me pose trop d’questions

Silencieux car j’ai pas grandi avec des “je t’aime” comme des mots d’liaison
Vingt-sept ans, y a rien qui bouge, y a des gens qui parlent, j’regarde l’temps qui passe
J’croque la vie, j’ai un dent qui casse, si tu la vois en rose, t’as une lentille sale
J’abandonne vite, j’te raconte ce qui précède un saut dans l’vide, oh merde (merde)

Elle est jamais aussi belle qu’avant qu’on s’quitte
Faut qu’j’arrête de m’plaindre, surtout qu’j’dois faire le beurre, je parle avec les mains, je chante avec le cœur
Plus le temps passe, moins je fais d’efforts, dans la glace, je crache sur le reflet d’mon époque
f#ck, je fais l’bilan d’ma carrière en faisant cuire mes raviolis pesto giovanni rana

Y a l’futur dans ma liste d’amis, j’écoute wallace cleaver, j’écoute annie .adda
J’suis au cœur de la 〈7:47 ?〉 comme un processeur
Est-ce que j’viens t’casser les couilles, moi ?
Viens pas m’casser les couilles, zerma t’es le chef, t’es le professeur

Tu sais rien du tout, t’es un fossile qu’a mis tout son oseille dans un bolide
J’sais faut parler bien aux grandes personnes, donc va niquer ton gros père le connaisseur
Que la vulgarité, j’suis en roue libre, t’es pas content, c’est l’cadet d’mes soucis
Y a des jours, j’ai pas envie d’être consensuel, donc va niquer ta grosse sœur la toubib (f#ck)

J’peux le faire sans insulter ta daronne, elle a d’jà beaucoup d’boulot, ta daronne
Entre son beauf de mec et sa conne de fille, elle a pas mal de mérite, ta daronne
La chatte à la grand-mère de ta daronne qui fait du ski nautique dans la garonne (sale)
Y a des édentés qui traînent en bas d’chez moi, qui f’raient bien un boulot à ta daronne

Boum, boum
Le seum que j’ai, c’est comme une avalanche (avalanche), rafalle de famas sur le goudron frais
Tu vas t’casser les deux bes-j’ en cavalant, 7.5
Han, yeah, han, han

Depuis 2013, rien n’a changé, on a perdu plus de potes
Et l’père noël, lui, bah, il fume juste plus de clopes
Moins tu m’ouvres les portes, mon frérot, et puis plus je toque
Mon moi d’enfant grelotte, son cœur fait plus de bruit que deux glocks

J’l’ai croisé dans une rue, j’lui ai dit “tue-les, de sorte
Qu’ils n’viennent plus l’ouvrir, d’façon à ne plus faire hurler le 〈rott’ ?〉”
Parle de sortir les guitares, à croire que la rue, c’est le rock
Le sh#t d’sln vient du maroc, va jusqu’à sevran beaudottes

Fahrenheit, trente-deux degrés fahrenheit
L’av’nir est sombre, le ciel devait nous ram’ner quelques lights
Y a qu’quand j’les lave que j’vois les trous dans l’dos d’mes vestes nike
Tell’ment les crocs qu’j’pourrais même mordre le chien d’take a mic (yeah)

On roule à deux cents dans la fumée, j’ai vu craquer l’pare-brise
R.a.f du trône, r.a.f d’être un artiste
Si vous voulez m’tuer, faudra qu’vous veniez par dix
Mes jnouns me backent, j’demande donc à l’ingé’ d’rajouter quatre pistes, yeah

Allô, lewis, on les baise, il m’a dit : “si, si, si”
J’vais leur rendre la monnaie, donc faudrait pas qu’je lubrifie
Elle m’a dit : “je t’aime”, je sais plus c’que ça signifie
Mes preuves d’amour, lui dire qu’les pneus, ils crissent ici

Qu’on laiss’ra pas traîner notre fils ici
On a en mis, on en a pris des coups, 〈9:44 ?〉 sont bons, il faudrait qu’j’en écoute quatre
J’vois des tas d’débris 〈9:48 ?〉, parce que j’mets beaucoup d’claques
M’ont mis des coups d’pute donc même l’ange à ma droite, j’l’écoute as-p

Dix ans après, on est là, ils ont voulu nous tuer, j’suis comme highlander
Yeah, yeah, wallace cleaver
J’ai mis beaucoup d’énergie dans cette merde
Eh, eh, eh, eh

Yeah
J’ai mis beaucoup d’énergie dans cette merde, qu’est-ce qu’on m’a rendu ?
Que dalle et je continue à voir cligner la pendule
Promis, j’voulais pas commencer d’manière amère, mais bon

On s’rapproche de la guerre des mondes, au moment d’payer, personne qui gère les comptes (han)
Couplet sur le fil, step-up obligatoire, mais c’est pas simple
J’me suis lassé de nager dans l’petit bassin
Immobile au fond d’l’impasse, je voulais pas ça

Efface les lignes de c’qui est tracé, je vois l’or derrière les gravats
Pendant longtemps, j’étais stressé, à r’mettre tout en question pour des résultats médiocres
Aujourd’hui, rien qui m’surprend, rien qui m’impressionne
J’ai même pas la haine, j’suis en état d’grâce

Les voix de l’au-delà sont en train d’terminer ma phrase
Tiens la barraque comme m’sieur sheffield (wouh)
M sur le front comme végéta et matthieu chedid
Loin d’être chétif, au poste à l’heure, derrière la part

Je garde le cap, pourquoi tu t’échines, à vouloir m’faire dévier
Seul sur l’autoroute que je suis en train d’frayer
Pas de pause, j’fais que m’entraîner, j’élimine ce côté statique
J’considère que j’ai trop freiné, mais ça donne la dalle, c’est pratique

J’vais pas refaire tout mon parcours, redescendre du haut du panier
Mix de talent et de bravoure, un peu d’chance pour m’accompagner, lessgui
Lessguili, lessguili, lessguili, hey
Lessguili, lessguili, lessguili, hey

Lessguili, lessguili, lessguili, hey
Yeah
Yeah, sto, sto, sto, sto, sto
Big up à wallace

5.9, tnf, lcg, 〈.?.〉 jusqu’à l’infini, tu connais déjà
Yeah (han, han)
J’entends les sirères, c’est pas les bonnes, j’avance dans la city, y a bien trop de misère
Tout mon cœur, je donne, tu m’l’enlèveras jamais, cette voix qui résonne

Les poumons encrassés par rotterdam (han)
Les poumons encrassés par rotterdam, let’s go, yeah
Yeah
J’entends les sirères, c’est pas les bonnes, j’avance dans la city, y a bien trop de misère (yeah)

Tout mon coeur, je donne, tu m’l’enlèveras jamais, cette voix qui résonne
Les poumons encrassés par rotterdam, 〈.?.〉
La 〈.?.〉, les stup’, on ramène la came, faut investir dans un stud’ à la campagne
〈ttp ?〉, c’est la guilde, le chemin est bre-som, j’ai pas pris d’guide mais j’avance

Les algorithmes, les avances, c’était pas ça notre rêve
J’voulais juste kiffer avec tous mes frères mais dans l’gateau, y a dix parts et qu’une seule fève
P’t-être que c’est éphémère, j’écris mes souvenirs, pas peur de les perdre
Neurones cramées par l’effet d’serre, yeah

Yeah, yeah, yeah, yeah
Hey, hey, hey, hey
Neurones cramées par l’effet d’serre, résultat du vingt-et-unième siècle
T’attends qu’un miracle intervienne, connard, ça m’étonnerait fort que la terre tienne

Pas beaucoup d’gens qui se battent pour aider les pauvres, c’est notre problème à tous
Des impôts qui financent l’arrosage d’une pelouse d’un terrain d’foot, qu’est-ce tu veux qu’j’te dise ? (barz)
Pour les baiser, j’ai mon livre de r’cettes, capsule d’anthrax dans la 〈dent, sur pivot (15:51) ?〉
Troisième doigt vers ton équipe de 〈15:53 ?〉, j’y peux r’, encore une putain d’rime de fête

C’est mon job, donc j’le prends à cœur, j’récupère les lauriers, j’le fais sans attendre
J’mets les pieds où j’veux, souvent dans la gueule, j’tire les balles où j’veux, souvent dans la tempe
J’écoute vos mensonges, obligé de n’penser qu’au prestige, couilles sous atmosphère protectrice
Stop ta condescendance, putain j’trouve le temps long

Tu ris sans nom, tu peux faire le 112, impossible que l’vent tourne, c’est trop tard, le futur est en route
Pompe sur pompe, plus de double menton, plusieurs coups de crampons, j’te découpe le tendon
J’ai laissé les problèmes en soute, maint’nant, j’ai trop d’aisance
C’est une longue construction, d’puis l’adolescence

J’commence à voir l’sommet de l’arborescence
Intervention plus que délicate, 〈16:26 ?〉 séminaire
Yeah, j’me positionne sur ta réserve héréditaire, tu captes pas, faut qu’je réitère
Jette l’allumette dans le jerrican, seul survivant comme dans many men, instru laissée inerte

Au top niveau, printemps, automne, été, hiver, pluggé comme péritel
Moindre faux pas tu le payes cash, c’est bien sur ta tête que la ‘teille casse
J’lance le regarde noir de c17, concu’ docile comme un teddy bear
Classique

Attention à ça (yeah), p’t’être ça va, ça peut partir à tout moment
Ça 〈pop (18:04) ?〉 n’importe quand
Han, est-ce que j’l’aime ? han
Yeah, yeah

Ne raconte pas ta vie, nous on regarde que la notre, j’ai entendu une belle voix qui venait d’là-haut
J’lève les yeux et ma grand mère me fait un clin d’œil, en me chuchotant qu’des des femmes, y en avait plein d’autres
〈les flammes (18:19) ?〉, les yeux, la pluie derrière les carreaux, j’roule à deux cents, j’vois des fleurs en d’ssous des panneaux
J’ai même pas pu lui donner un bisou, j’croyais qu’ces choses là n’arrivaient qu’à l’autre

Et dans l’fond, les gens qui doutent, on aime ça, on a l’même tour, peut-être on a pas le même sac
Et oui, j’ai un peu plus de talent, mon frérot, même si sur l’papier on a juste le même bac, sa mère
〈fond d’cook (18:37) ?〉 et là j’suis crack, sa mère, des anneaux sous l’capot, j’en veux au moins quatre, sa mère
J’ai attendu mes jnouns derrière la porte, si l’av’nir veut pas s’battre, je réglerai le 〈cas d’sa mère (18:42) ?〉

Hein, j’rêve de reprendre les mains qu’j’ai rattrapé, qu’j’ai lâchée
Un vrai amour est celui avec lequel on a pas l’courage de s’fâcher
J’ai grandi à un endroit où, en fait, y avait même pas d’train
Où ça hurlait si sur la table, moi et ma sœur on r’tournait pas l’pain

J’écoute “quand je s’rai grand” et j’écoute “l’amour est mort”, mais
J’voulais parler aux étoiles, j’ai vu quelles dormaient
J’ai d’mandé à dieu comment on peuple un désert, pas d’réponse, il paraît que le silence est d’or, mais
Dans l’église de la haine, j’ai pas regardé les vitraux, l’amour en un point, il faut juste cacher les vitaux

〈dans l’truc (19:11) ?〉 j’égorge des prods, on en a changé des vies tôt, dix ans qu’j’ai perdu mon p’tit cœur, j’ai pas trouvé c’qui équivaut
Et si j’suis là, c’est gage de qualité, j’me casse, j’suis fatigué
On rêve trop, chez nous, c’est rare de graviter, tout peut s’envoler, la vie, c’est comme le cash de halliday
Ou ta jambe, si j’lâche le canidé, j’vis, j’pense, crève, moralité

Après la tempête, la flaque sera vidée, mets cent briques sur la table, tu verras mes eyes se raviver
W, ils pourront jamais test
J’attends de ramener l’pez, les gens, c’est comme les fesses, y en des tas qu’j’aime et des tas qu’j’déteste
W, ils pourront jamais test, j’attends de ramener l’pez, regarde c’que j’leur fait avant de m’parler d’sexe

Wouf
Attention, belek
Yeah, yeah, wow
Wah wah, yeah

Mon dernier album, shesh
Wah, wah, wah
Mon dernier album s’appellera “larsen”
J’veux réussir mon départ à défaut d’être arrivé

Nique leur carré vip, leurs chiffres sont faux, mon art est vrai
15 ans, j’rêve d’être un rappeur, 25 ans j’suis un rappeur qu’arrive plus à rêver
J’veux finir près d’la mairie loin du square
Tous mes sons ressemblent à des outros, car j’me souviens qu’des fins d’histoire

Guess who’s back
J’ai une carrière qui boite comme l’usual suspect
J’voulais une maison sur la côte
J’ai qu’un requin sur l’pec’

Ouais, allô j’écoute
Encore un artiste qui pense mieux pouvoir réussir en écrasant ses potes
Encore un label qui t’baise en faisant croire qu’l’avance est haute
Encore un journaliste qui oublie trop souvent qu’il mange grâce au talent des autres

〈les chiffres du loto ?〉 sur mes textes mais ils comprennent rien
Sur scène je chante ma tristesse
Font des pogos sur mes plaies
Quelque part entre le 〈mackie ?〉, la 〈.?.〉

Les amis, les coups bas
Les “j’arrive””, les “bouge pas”
Ali et booba
J’regarde les gros titres et toi tu t’demandes c’qui m’effraie

Ma mère a les traits tirés tandis qu’moi je tire des traits
Pourquoi j’pense à ça tout l’temps ?
J’voulais l’emmener à la plage, j’me suis retrouvé dans des sables mouvants, yeah
J’vais leur prendre l’oseille

Nique leur tendre l’oreille
J’bosse l’album intemporel, puis adios (ciao, ciao)
J’ouvre une radio, j’organise un festival comme jean morel
Donc me d’mande pas si j’ai l’temps pour elle

Yeah
Han, han, yeah yeah, yeah, han, han
Les yeux rouges 〈pas à cause du pe-ra (21:19) ?〉, en c’moment, j’pense trop à la mort
Même 〈l’extendo (21:22) ?〉 avec mes doigts, j’en veux un vrai pour m’y croire

L’arme à feu pour prendre du recul, flemme de rentrer dans leurs mœurs
Nous on kiffe c’qui sort du cœur, chez eux, ça sort par le cul
Connaît l’gouffre, les rooftops, le goût d’la rage et de la vie
D’puis p’tit, j’ai les mêmes envies, j’ai pas changé, j’fume juste des clopes

Y a des jours où j’dis qu’j’vais le faire, puis d’autres jours où j’le fais juste
J’suis comme une fausse note qui sonne juste, donc ils me proposent tous de l’aide
Et moi, j’veux pas changer, et j’ter qui je suis, pas honte de c’que j’étais
J’étudie l’homme, de jour en jour et je n’veux pas le ressembler

J’ai vu des darons frapper leurs mômes comme si c’était des ennemis
Plus proches de animaux et d’leur instinct, que d’mon portefeuille
Perdu l’innocence dans les yeux, j’avance, j’fais semblant d’aller mieux
L’insolence quand je suis sur scène, l’humilité quand j’change de lieu

Jamais, jamais dire “jamais”, donc j’aurai jamais c’que j’veux
J’crois qu’j’ai plus d’feu dans les yeux, 〈22:02 ?〉 ravive comme il peut
Réveillé par un trou d’mémoire, c’est vite le brouillard
Débrouillard, même plongé dans un trou noir, hein

Instinct de survie, la vie : un combat ; donc je combats, chien
La vie : un combat ; donc je combats, let’s go (chien)
La vie : un combat ; donc je combats
La vie : un combat ; donc je combats, oui monsieur

Han, yeah, han, w
J’ai croisé l’diable, ce fils de pute ne portait pas d’prada
Tête à tête contre l’av’nir, mais bon, y a quatre gars là
Pensent être meilleurs que moi, visiblement, c’est pas l’cas, là

Pas d’casquette, si j’avais honte comme eux, j’s’rais sous balaclava
J’vois plus grand chose dans la pièce, j’attends l’éclaircie
Merci, même si j’lui dis : “je t’aime”, elle m’dit : “j’ai l’esprit”
J’ai donné mon cœur à ma tête, ma tête au ness-bi

J’peux leur apprendre les vrais placements, pas leur donner la modestie
Un yamaha d’compét’, v’là d’vérifs
J’crois qu’il pleut, l’ciel veut pas qu’j’guérisse
À 〈22:58 ?〉, y a rien, y a qu’moi, pas d’périph’

J’peux tout niquer et même pas palper d’biff ?
Quatorze, quatre-vingt-dix-neuf, j’tais d’jà plus fort à dix-neuf
Sous 〈23:03 ?〉, veulent rivaliser, ils n’ont même pas l’i9
Fer est neuf, j’me d’mande qui s’ra bientôt le vrai 〈kayzer (23:07) ?〉

Tell’ment chaud qu’même si ils voulaient, ils auraient même pas pris l’eu-f, han
W jusqu’à l’infini, j’leur mets tempête, un tour d’avance et j’me prépare à filer
Leur flow est pas raffiné et leur sh#t est paraffiné, qui s’ressemble, s’assemble, donc j’invite un famas à dîner, han
W jusqu’à l’infini, moi, j’invite un famas à dîner

W jusqu’à l’infini, moi, j’invite un famas à dîner
J’suis dans l’magma, j’crée un torrent, j’suis en flux tendu d’insolence
J’ai déjà vu l’film, y a un cowboy qui tue un comanche
Face cachée d’la lune, j’envoie l’unité d’engins volants

Pour te montrer comment j’commande, d’en-haut d’la tour, eh
Électrique lady, j’ai des skills terribles, genre déplacer des mondes anciens via la télékinésie
J’suis fait de plasma, vaisseau de classe a, vengeance de 〈kaska (23:48) ?〉, via le 〈b élite daily / d’eli (23:50) ?〉
〈23:53 ?〉 4%, code eight, lune noire, code 〈25:54 ?〉, survivant comme ken

Bon, j’arrive en vitesse de distorsion, j’suis en finesse
T’arrives en claude, t’arrives en ivresse, han
Venu pour distribuer le vrai sh#t, j’zigzag entre les équinoxes, ça m’donne le vertige, han
J’prends aucun plaisir à les tordre, j’me sens différent, c’était déjà l’cas à l’école, bon, bon, eh

Dystopie des drapeaux, nique diviser pour mieux régner, non, j’suis pas aussi mégalo
Ce monde projette un reflet, on d’vrait s’en servir de repère afin d’gommer les différences entre les lions et les crapauds
Ahahah, 7.5, monsieur
Yeah, yeah, yeah

S/o le sheldon, s/o tout l’monde, shh-shh-shh
S/o big pierre, toujours hein, toujours
Les mots sont pas plus beaux même une fois mis sur des toiles
Pas sous drogue, j’suis soûl l’soir, des fois, même, j’suis sous étoiles

J’parle tell’ment d’mes démons, j’me convaincs même p’t’être d’les voir
Ça fait longtemps qu’j’bats des ailes
Fais le vide vite, fais le vite vite
J’suis derrière l’mat’las, j’record mes cauchemars, ils participent

Depuis dix piges, j’suis chez moi, l’enfer, j’le touche d’ici
J’vois l’invisible, j’suis dans l’partage, prends même un bout d’ma peine
Y a pas d’label au bout d’l’appelle, oh wow, non
Pourquoi la belle a l’goût d’la bête, y a ma tombe au bout d’la pelle, oh wow

Si elle s’attache, j’m’arrache d’ici, j’ai du chanel, pas du dc
Mais j’vois tell’ment d’fantômes et j’suis tell’ment hanté, j’suis en leasing
J’suis dans leaving, j’suis dans la room, elle a mon cœur dans les mains, mon cerveau dans la bouche
J’connais des gars louches, hum, ils parlent avec les poings et c’est pas du morse, nan nan

Même pas du braille, non non, si demain j’die, non non
Merci pour tout, maman, merci pour tout, maman, merci pour tout, maman
J’suis avec w, pierre, annie, on s’est pas fait les dents, on s’est fait les canines
Y a des corps sous l’étang, des tonnes de fentanyl, avec lewis et quand on clip, on tue le temps

Élaborer des plans qui f’raient rougir staline, yeah
On parle beaucoup d’argent, rêver des kichtas grandes comme mimie mathy
J’passe l’hiver à berlin, après, j’vais en pologne comme lil yachty, yeah
Gang

On les blesse, on les blesse, kichtas et gouttes de sang épaisses
Méfaits durs quand j’connais trop pas la hess
L’ascenseur en panne, la daronne qui stress, qui nous parle de son pagne
Trente-et-un ou trente-et-un, pop champagne, c’est ça la vie en vrai

C’est ça la vraie, j’demande au reufton : “sers-moi la fraîche”
Le 〈25:55 ?〉 est hot rap, on dirait j’prêche, j’vais die comme un prêtre
La vie, c’est un prêt comme ta putain d’toxine, avec des 〈dogs / doigts / dents (25:59) ?〉 comme un putain d’〈26:00 ?〉
J’te vois de loin, j’te sers la main, j’vois dans tes yeux, 〈j’sais que je dois m’taire (26:04) ?〉

Dos argenté, plante-moi ton cut, il va pas rentrer
Mes ptsd font mes mauvais réflexes, 〈je suis centré (26:09) ?〉, 〈j’tape à deux traits (26:09) ?〉, jamais d’te-trai
Hein, hein, yes, négro, on les blesse, négro
S’ils veulent nous faire, on les blesse, négro

Ptsd, c’qui a dans l’crâne, négro, se démerder avant qu’on canne, négro
Yes, baby, on est wet, baby, ma 〈26:20 ?〉, 〈j’suis le best (26:21) ?〉, baby
Crack baby, 〈26:22 ?〉 quatre-vingt-dix, 〈26:23 ?〉 viens boy, y a v’là les indices
Han, han, ok ok ok ok, s/o big wallace, let’s go

Faut calmer l’ambiance, un peu
Yeah yeah, yeah, ok, ok
Eh, yeah
Un surplus d’émotions dans la cervelle

Ça m’rassure plus d’fumer, j’le fais juste parce qu’elle m’amuse bien cette verte (yeah)
J’pense à ma vie, à quoi elle sert même
J’fais d’la musique, je cherche les émotions au sein d’ma chair même
J’écris comme si j’avais mon cœur dans la paume

J’décris les cris qui m’réveillaient p’tit à 5 heures dans ma piaule, yeah
Et en vrai j’m’en fous d’être tel ou tel mec, j’sais qui j’suis, j’ai pas besoin qu’y ait marqué “artiste” dans ma bio’ (non)
J’ai du mal avec ma personne, pourtant j’fais du mal à personne, j’fais que marcher vers l’brouillard et après j’m’étonne quand je perds l’sun
Chaque fois, j’ai l’impression d’être un poids, donc j’en perds beaucoup malgré l’fait qu’j’ai mis 1 gramme dans mon pers’

D’habitude, j’ai envie d’pleurer mais j’y arrive pas
J’suis pudique j’me libère que si au d’ssus d’moi y a l’averse
Parce qu’aller bien j’y arrive pas
Quand mon poto m’demande chaque fois je dis l’inverse

J’sais pas pourquoi j’me libère pas
J’y vois tout noir quand l’hiver passe
C’est logique vu qu’ma douleur reste même après cette ppe-fra vert pâle
J’écris, j’ai 2-3 vers pas utilisés pour te faire part

D’ce que j’ressens en moi, parce que j’espère que tu le cernes pas
Parce que ça fatigue de comprendre et si tu comprends c’est qu’tu l’vis
J’suis comme toi, appelle moi 〈.?.〉, m’appelle pas “senpai”
J’essaie juste de mettre des mots en forme

J’suis pas en forme
J’suis pas un maître mais j’veux rester en vie même si moi et cette vie on s’aime pas
5.9 tnf slg, sto sto sto
Ça vient d’là où les gens caillent avec le smile

Les yeux rouges comme les briques, comme si j’allais au stade
Let’s go
Kipsta dans sac de sport, rappelle-toi, à l’époque, on n’avait pas la cote (c’est réel)
J’fais pas dans l’artifice, les miens sont discrets, on fait ça façon district

J’fais du rap pour les incultes, les surdoués
J’aimerais apprendre à tout l’monde qu’on peut douter
À cloche-pied dans les flaques de sang, la marelle, policier la dessine
Au sol, résidus d’aérosol, au sun, on fait pousser la résine

sh#t aussi gras qu’moi en 2012, dans l’placo, y a des trous comme dans nos socquettes
Phalanges pétées, trous d’boulette, c’était pas ça notre rêve
Yeah, yeah, yeah
Imagine un peu c’que j’serais sans sh#t (haha)

Yeah, yeah, attends
Imagine un peu c’que j’serais sans sh#t
Yeah, yeah, yeah
Imagine un peu c’que j’serais sans sh#t

J’me fais rare comme de l’eau dans l’désert
Comme du love dans mes 16
Là j’rentre dans l’arène et sans shield
Je fais l’rap tu le vois dans mes cernes

Maintenant attends, essaye
Regarde mon clan comme il sème la terreur, chaque erreur fait passer un step
J’suis c’mec qui sait pourquoi chaque matin il s’lève
Slay, slay, ton rappeur il saigne à terre

J’suis iniesta, j’fais la passe, i’m’laissent la faire
J’les bois à chaque texte ça donne grave envie d’sep
J’ai grandi dans l’8-7
J’travaillais ma plume jusqu’à l’heure où tes parents ils s’lèvent

Merci l’enfance de merde, j’fais une carrière dans l’rap
Avec c’qu’il y a dans mes notes j’peux faire 400 mixtapes
Franchement je l’sais, faut parier sur oi-m
Avec $enar l’sommet, l’objectif qu’on s’est fixés

Au pied du mur faut j’escalade, j’ai plus sommeil j’veux le sommet
Le temps il passe et j’ai toujours pas graille, 〈.?.〉 je veux le graal han
〈.?.〉 pas pour 〈.?.〉 les crochets (crochets)
Moi je veux la vue sur la mer, mais t’inquiète pas je l’achèterais

La rage elle veut pas me lâcher, comme si on avait pactiser
Rien n’est gratuit même pas l’eau, j’rentre du taff 〈.?.〉 jusqu’à l’aube
L’ascension j’la sens quand j’〈.?.〉 l’escalier 〈.?.〉 j’y vais même a pied
W, pas la pour les petites sommes, plus l’temps passe plus j’vois les traîtres qui spawn

J’ai vu ma vie d’vant a l’ârret d’bus, elle a pas perdue sa tête de petite conne
Dans 〈.?.〉 plus d’deux-milles cigognes, on parle tout le temps de papier, c’est la vie qui l’donne
J’ai mis tout l’mien maintenant l’contrat vaut 10 bitcoin et j’crois bien qu’c’est l’minimum, ah oui
Han, han

J’viens d’une ville ou les gens sont moins radiées par la centrale que par le pôle emploi
Dans l’fond on est née pour une chose, trouver le bon rôle en soit
Y’a dix piges ils tentaient de me cracher d’ssus, et maintenant ils me disent : “gros t’envoies”
Les zéros j’en ai pas encore c’est comme les traîtres, au loin beaucoup trop j’en vois

J’suis comme gon sous v’la d’cafféine, mon moi d’enfant sous un aphex twin
J’mets une patate dans la barrière et j’marrache de la bien sûr j’en ai marre d’être vide
J’ai failli tomber dans le paderyl, ça c’est pas la vraie vie, parle d’amour j’comprends pas l’quart des livres
Et j’me demande si tout ça a du sens papa m’as dit : “les rimes ça construit pas des villes”

Avec rien on fait du blé, on l’a frôler la cata
On les baises avec les règles on l’aura pas voler la prada
Moi contre moi j’me prépare et j’arrive ‘vec une tel armada
Qu’j’pourrais m’battre contre dix milles âmes si il faut mais seulement si y’a un fond d’l’air de l’〈.?.〉

Double-double w, bmw noir mât, j’me d’mande si des fois j’suis malade
J’ai les battements d’mon coeur qui saccade
Merci à tout l’monde, sheldon, henri, eden, keroué, 〈.?.〉 mairo, selug, $enar
C’est une chose étrange à la fin, que le monde

Un jour, je m’en irai sans en avoir tout dit
Ces moments de bonheur ces midis d’incendie
La nuit immense et noire aux déchirures blondes
Il y aura toujours un couple frémissant

Pour qui ce matin-là sera l’aube première
Il y aura toujours l’eau le vent la lumière
Rien ne passe après tout si ce n’est le passant
Je dirais malgré tout que cette vie fût tel

Qu’à qui voudra l’entendre à qui je parle ici
N’ayant plus sur la lèvre un seul mot que merci
Je dirai malgré tout que cette vie fut belle
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Grünt #57 – English Translation

Olalalala
Han, Yeah
I have ten dreams for three hundred nightmares, Bellek if the left leaves
When I have sorrel in Samuel, I will get 8 in Oscar

All your rappers the p#rnstars who would suck for pochtars
I have a friend underground, one in sh#t and two in shtar
Love, it requires too much taff, hatred, it puts too many slaps
I grab them, it looks like I have the canines of a big staff, wouh, wouh, wouh

Big slap, I feel the wind, the Audemars
Big, R’Garde: for me, it’s soon; For them, it’s too late, Han
They are starting to suck their cervicals
I deceive better than them, it is in a long time that they can give me a bad

Jay-Jay okocha, I do a festival
The right starts from the left and comes up vertically
Du Dry on Dry, I curl in a Toyota Corolla
I abandon their mothers in front of a coppola, it’s too beautiful there

I write theses, it’s more texts, it’s just a doctorate
Labels sign sh#t and they boast of having smell
I’m attacking it, we hole them, no puddle
Yz, no plaque, where are the money? that I have no more to smell the smell of piss in 〈l’A4?

Succeed, apart from if you give your feet in college
The sacem in Zazie combined with that of Arafat
Ball after ball, I’m just carabin them
Your guy is hard with mes-ar, but he’s Kawaïné

They have emptied their chargers, I don’t have a wishes
I’m having prods, today I’ve changed a deck four times
It smells of crime and illegal products
At the same age in U12 while I signed pro

Your girl with a girlfriend, after the concert, I signed her back?
I tried hip-hop to smoke cigars and kiss idiots
M.A.I.R the legendary valid Wallace and it is reciprocal
〈Ped yes? Cedon, now, I’m with a refined girl, we eat marinated beef, the baby in the egg

In the evening, I’m like a Ford Fiesta and in the evening, I’m very festive
With such a text, it’s normal that I feel special
I leave to save the world, I come back, I change my sapes
It’s me who transmit that, so hear it’s message, han

I do not yet tend my sacem so the prod ‘, I do him a job, but I do a black taff, for the moment
As if I wanted to go and make it a matter of a night, for the moment
As if I’m hungry, she gives me a drink, for now
Men in black like Swat

An oil bar, a funnel and I stuff you like geese
Me, I headed like a zinzin, it has always been simple, sin-c ‘
There are not two and mid, the fingers of the hand, it’s always five sins-c ‘
Ah yes, let’s go

Yeah yeah
Blue Henri
S/o pr to prod, s/o wallace
Let’s go

Yeah, Yeah, Yeah
There are colors, there are tunnels, ends of my heart in the alleys
There are the odors of my past, there are even flowers, frozen waters
Tell me that you’ll come and help me, I’m waiting for heaven, I’m waiting for the dice (2:30)?

There are animals that bother me, say not “I love you”, I am stubborn
Blue and transparent crystal, there are silver frozen eyes
I have to speedrun, I don’t have time, we are when we fall that we learn
Me, I have so many blues on the G’noux, that I know more if I prie or I am waiting

Yeah (never, never), eh
I see images, there are clouds and the clouds are under my feet
There are rumors in the corridors, the sound of drops of water at the bottom the sink
I have nightmares, I have nightmares that were afraid of Freddy Krueger

Even in Freddy Krueger, eh
I’m at the bottom, I have Hauts-l’Cœur, both eyes of a stalker
Zombies, crunchers, my heart is full, like a six tonnes
Life is ironic like the death of Paul Walker

Life is not a sitcom, even from below, I get height, Okay
I get it in the eyes and I already see that it is a hoe
Don’t tell me about game because, apart from my brothers in R2, it doesn’t play too much
Tomorrow is not far away, 〈9 A.M?

The cocorico does your pockets, the doe foot t’et au abois
The dog sniffing the Ford, I bring the dark circles of my relatives, what? ok, ok
Tell’ment Trix-Ma by digital, you could even kiss a bot
I never lowered my shorts, except to show you the Tom Ford

There are some who are as a stomach, then will taffer their abs
What do you speak to me, sin-?
Soon when I am moving on my kichta, I have a ninety-five meter
I want to get out of a Maybach, see the logo on the ground

Not a 〈3:40?
The devil is a skinny b#tch, always fine in these moves
Let me do the diès, you, I let the phew do the phew
When it goes pop, I will go to resell all my masters

Because each thing has a price, take out your C.C, do it fasting
We go there for 〈3:53?〉
Eh eh
But who told me to put a hundred and fifty on Gakpo the scorer? wallah, I’m too stupid, brother

Eh, eh, eh
I put a hundred and fifty on Gakpo
And the sound engineer is a young baptou
Always in the block as if I am employee

In one look, f
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Lyrics Grünt – Grünt #57

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